Il y a bien longtemps que je voulais lui dédier un article.
Certains me disent qu'elle mérite une médaille pour avoir supporté un individu comme moi depuis si longtemps, d'autres s'étonnent et s'étonneront encore sur la longévité de notre couple.

Mais le temps, l'inspiration, tout me manque. Et hier dans ma revue préférée, je tombe sur un article de "Jocco Power" qui m'a devancé, normal c'est son métier d'écrire!
Cet article je le fais mien, (je le supprime à sa demande si cela le gène.)

On n'est pas des bêtes

En voilà encore un de passé ! Nouvel An qui rime souvent avec gueule de bois et indigestions, suivi des traditionnels vœux  pour la nouvelle année. La santé ! Ca va être dur : on ne peut plus nous soigner qu'avec des médocs génériques. Le tabac ! Dur aussi. On se croirait à la période de la prohibition. Du coup les gens fument de plus en plus de clopes de contrebande, pires que celles des grandes manufactures tabafricacanérigènes qui font la pluie et le beau temps dans certains milieux économiques. 
Quant à la prospérité financière, il faut oublier, car grâce à l'euro on ne sait même plus calculer le prix d'une baguette. Enfin ce n'est pas nouveau et ce n'est pas près de changer. 
Le mois de janvier, c'est aussi celui du traçage des premières sorties de la future saison. En matant mon calendrier déjà bien rempli, j'ai levé les yeux et croisé le regard de ma rousse (moi elle est châtain). 
Et là, j'ai eu un flash. Cela fait déjà presque vingt ans (moi 39), quelle supporte tout ça sans jamais rien dire. Elle est toujours prête à me pousser pour que je réalise mes rêves et mes envies. 
Qu'il s'agisse de mes projets de brêles ou de déplacements, auxquels elle participe pourtant trop rarement. Elle fait preuve d'une espèce d'abnégation totale envers tout ce qui peut entreprendre son addict de mari shooté non-stop à la passion qui le fait tenir debout ! 
Nous devons être un paquet dans ce cas, à vivre avec des femmes qui ont fait le choix de nous partager avec la pire des maîtresses : la liberté. 
J'espère que ces quelques lignes seront comme un petit coup de pompe dans le cul pour les plus machos d'entre nous qui en levant les yeux juste au-dessus de ce billet d'humeur, verront leurs nénettes en train de préparer à bouffer ou de faire je ne sais quel autre truc qui nous dépasse. 
Pas de quoi passer pour un baltringue en disant à cette femme que c'est aussi grâce à elle si, aujourd'hui, on a le sentiment "d'exister". (Jacco Power. W.M)

Aujourd’hui le soleil était présent !

Il y avait de gros nuages mais parsemés.

La température est montée jusqu à 10°, il y avait bien longtemps.

La saison n’ait pas au beau temps n’y aux fortes chaleurs.

Donc il faut en profiter, j’étends mes 25 kg de sulfate de fer sur ma pelouse. Cela fait trois mois que j’attendais, mais il pleuvait tous les jours.

Il me restait un peut de temps.

Donc je sors la moto de dessous la housse et du garage, tourne au tour, un coup de démarreur, le moteur se met en route, avec le son que l’ont connais . . .

Et me voilà sur la route pour une petite virée.

Ah c’est bon depuis le temps.

Je me fais une balade sur les petites routes de la région. 

Je m’arrête, afin d’observer le couché de soleil, mais un gros nuage à l’horizon ne ma pas permis d’en profiter pleinement.

C’est pour la prochaine fois. 
Un clic sur les  images si vous avez un grand écran.

Harley Davidson dévoile le Cross Bonnes, du lord ! Pour concevoir ce nouveau modèle le constructeur de milwauké affirme avoir utilisé trois ingrédients : du sang de la sueur et du chrom. Tout un programme. 

Dévoilé aujourd'hui, le Harley-Davidson Cross Bones est présenté par le constructeur de Milwaukee comme un "dark custom" (custom sombre). Une sorte de retour aux origines du genre. Au menu, fourche Springer, selle monoplace, mini-guidon hape anger et coloris Gloss black sur la fourche, le guidon et la console accueillant les voyants....
souce : motorevue