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22 novembre 2006 3 22 /11 /novembre /2006 12:12

Je n'aime pas le foot..(j'me répète) mais là pas d'accords, et la liberté dans tous sa ? Et bien j'aime encore moins ! Et demain que va t-il nous rester, enfin chui pas tout jeune (?) je vais peut être échappé au pire, mais les plus jeunes a vous de jouer ne vous laissez pas faire, 80% des dirigeants de club non jamais touchés un ballon, et se fond briller pas les exploits des joueurs quand a leurs pouvoir lisez cela :

YouTube tacle les amateurs de foot français
Des vidéos postées sur YouTube par des internautes français ont été supprimées par le site, à la suite de réclamations de la Ligue de football professionnel.

Publier des images de manifestations sportives ou des vidéos musicales sur Internet sans l'accord des ayants droit est illégal. Tel est le message martelé de plus en plus vivement par les groupes de médias et les organisations sportives, à l'encontre des sites de partage de vidéos et de leurs utilisateurs. Plusieurs internautes français en ont récemment fait l'expérience, en voyant leurs vidéos éjectées par YouTube lui-même, parce qu'elles comportaient des images de matchs de football.

 Les vidéos de matchs tournées par des amateurs sont aujourd'hui légion sur le Net. Un vrai poil à gratter pour les titulaires de droit (LFP, clubs) et les diffuseurs, qui monnayent leur retransmission exclusive à prix d'or. Mais c'est bien souvent sans le savoir que les vidéastes amateurs se retrouvent dans l'illégalité. Ainsi, quelle ne fut pas la surprise d'un jeune supporter français lorsqu'il reçut des e-mails de YouTube, pour l'informer que trois de ses vidéos étaient supprimées du site. « Je n'avais filmé que le public qui chantait des chants lillois lors d'un PSG-Lille ! », s'exclame-t-il.

Chants ou ola, cela fait partie intégrante de la compétition, répond la LFP. De même, la ligue rappelle qu'il est interdit de filmer les entraînements, en compétition comme en club, mais que l'usage des films dans le cercle privé est bien sûr autorisé. En fait, d'un point de vue légal, seul le droit à l'information permet de déroger aux droits d'exclusivité des retransmissions, et encore, dans un cadre restreint (extraits courts et gratuits, pour un journal télévisé, par exemple). 

Surveillance automatique

Reconnaissant que le public ne sait pas toujours ce qu'il peut ou ne peut pas faire, la LFP assure privilégier la prévention, en informant sur les forums et en prenant parfois contact directement avec des internautes. Mais la Ligue sait aussi traquer le contrevenant. Et pour le faire à grande échelle, elle adhère au programme récemment mis en place par YouTube/Google, permettant aux titulaires de droits de repérer automatiquement les vidéos qui les concernent. Noyées parmi des millions de films, les vidéos sont détectées par mots-clés (titre, descriptif) et l'ayant droit valide leur suppression. S'ensuit l'envoi automatique d'e-mails, comme ceux reçus par notre supporter.

Selon la LFP, plusieurs dizaines de vidéos seraient ainsi repérées chaque semaine. Quant aux « petits » sites diffusant ce type de films, un coup de fil suffit généralement pour obtenir leur retrait. La diffusion de matchs sur Internet ne nuit pas franchement aux finances de la Ligue, des clubs ou des diffuseurs, en tout cas pour le moment. Mais la LFP garde un oeil sur le développement de cette pratique. Certains de ses homologues étrangers sont d'ailleurs déjà passés à la vitesse supérieure. La NBA américaine, les ligues anglaise et allemande de football et le Bayern de Munich ont récemment fait pression sur la filiale de Google pour que soient retirées les vidéos les concernant, parfois plaintes à l'appui.

Du côté de l'industrie du disque et de l'audiovisuel, plus habituée au problème, quelques précautions avaient été prises. Google a notamment signé des partenariats avec Universal Music, Warner ou Sony, avec partage de revenus publicitaires. Un accord du même ordre vient aussi d'être conclu avec la Ligue nationale de hockey (NHL) canadienne, préfigurant de nouveaux rapports avec le monde du sport.

Après YouTube, d'autres sites de partage de vidéos devraient suivre cette voie, notamment MySpace, actuellement accusé par Universal d'encourager la diffusion de « matériel protégé ». (Souce 01.net)

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commentaires

P
C'est ça la liberté !!!
Répondre
J
<br /> ..<br /> <br /> <br />
D
SLT C CHEYENNE !!!! je tes mis un com mis je me suis planter! je te les mis tout en bas ......bisous
Répondre
J
<br /> ..<br /> <br /> <br />

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